L’instant campe sur ses positions que le ciel assiège
Pris entre ciel et murs, il regarde ce qui peut encore l’aveugler
: Quel bonheur prend encore la forme d’un nuage
Qui découpe sagement l’azur d’un ciel d’été ?
Comme un lieu d'allégeance sa promenade sous les portiques incendiés
Il se bornait à l'orée, aux esquives, aux lobes lisses des feuilles, il chuchotait un chemin rêvé pour chaque être et chaque chose
Cannibale des lumières intrinsèques, il redoutait la nudité sauvage des anges à ciel ouvert